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Mathilde Panot règle ses comptes avec TF1 « vous êtes responsables de…

Le dimanche 9 juin, Mathilde Panot était l’invitée de France 2 pour réagir à l’annonce d’Emmanuel Macron concernant la dissolution de l’Assemblée nationale. Au cours de son intervention, la femme politique a eu un vif échange avec Nathalie Saint-Cricq.

Ce débat sur le petit écran intervient alors que le Rassemblement National a été couronné de succès aux élections européennes. Peu après l’annonce de ces résultats, Emmanuel Macron a déclaré la dissolution de l’Assemblée nationale et a convoqué de nouvelles élections législatives, prévues pour les 30 juin et 7 juillet.

Invitée sur France 2 pour commenter cette décision, Mathilde Panot a affirmé que La France Insoumise avait la capacité de contrer l’extrême droite lors de ces prochaines élections, en s’appuyant sur plusieurs projets de loi soutenus par son groupe à l’Assemblée.

Au micro d’Anne-Sophie Lapix et de Laurent Delahousse, la députée de 35 ans a notamment abordé l’inscription dans la Constitution française du droit des femmes à l’IVG. Elle a insisté sur le rôle des parlementaires de gauche dans cette révision : “C’est l’une de nos victoires, celle de la constitutionnalisation.”

Nathalie Saint-Cricq, également présente sur le plateau, a alors rectifié légèrement sa voisine de table : “Ce n’est pas vous qui l’avez décidé.” Une remarque qui n’a pas été du goût de Mathilde Panot. “Oui, enfin, c’est moi qui l’ai présenté, donc vous pouvez un peu réfréner votre haine à notre égard!” lui a-t-elle rétorqué. Nathalie Saint-Cricq a assuré : “Je suis extrêmement calme.”

“Les insoumis n’ont jamais eu et n’auront jamais peur du peuple”

Peu après son passage sur France 2, Mathilde Panot a pris la parole sur son compte X (anciennement Twitter) pour défendre à nouveau la position de La France Insoumise pour les élections législatives à venir : “Insoumises et insoumis, nous sommes et nous le resterons. Les insoumis n’ont jamais eu et n’auront jamais peur du peuple.” Elle a ajouté : “Je veux dire aux centaines de milliers de Français qui se sont engagés politiquement ce soir de ne pas se retirer.

Nous avons besoin de vous, car nous n’abandonnerons jamais le pays au racisme, à l’indifférence et à l’égoïsme social.” De son côté, François Ruffin, député LFI de la Somme, a appelé sur BFMTV à une alliance commune à gauche sous la bannière du “Front Populaire” : “Veut-on gagner ensemble ou perdre séparément ? Voilà l’alternative qui s’offre à nous. […] Nous pouvons faire un sursaut, éviter le pire. Il n’y a pas de fatalité, nous pouvons gagner !”

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